qu’à Ouzoun-Ada. echarpe burberry femme

Toujours d’après les conseils de Philibert, les voyageurs se firent confectionner, par un tailleur arménien, des vêtements plus appropriés au pays et surtout moins capables que leurs habits européens d’attirer l’attention.C’était pour tous, même pour les dames, une sorte d’uniforme ainsi composé : haut bonnet de feutre, tunique à grandes manches ou touloupe, pantalons immenses et valinki ou hautes bottes de feutre indéchirable comme du cuir.En fait d’approvisionnements, ils avaient les caisses de conserves emportées de Paris. trench burberry homme
Mais, ils se proposaient d’être fort économes de cette ressource, de la réserver pour les contrées absolument désertes et de vivre autant qu’il serait possible, à la manière des indigènes, c’est-à-dire de riz, de mouton et de fruits.– Vous trouverez tout cela en abondance, avait assuré Philibert Dubois, jusqu’à ce que vous soyez arrivés à la région montagneuse, dans les parages glacés du Thibet et de la Mongolie chinoise. Là, le seul aliment qu’on puisse se procurer, c’est de la farine d’orge assaisonnée d’un peu de beurre, et du thé. trench burberry pas cher Quant aux moyens de transport, le docteur Rabican et M. Bouldu y pourvurent en achetant, à un négociant tartare, deux longues voitures, munies à l’arrière d’une capote de cuir et suspendues sur des ressorts de bois.On nomme ces véhicules « tarantass ». trench burberry femme pas cher
Elles sont traînées par quatre vigoureux petits chevaux de la race boukharienne.On engagea aussi, pour servir à la fois de guide et de yemchtchik (postillon), un Kalmouck nommé Chady-Nouka. Il devait conduire la première tarantass, où prendraient place Van der Schoppen et Yvon Bouldu, et qui porterait la plus lourde partie des bagages.

Published
Categorized as Journal